Je m'appelais Marie Info
.« — Vous connaissez bien le proverbe : “Quand on tend une main aux Arabes, ils te coupent les deux mains !” Jamais ils n'accepteront. Pour eux, c'est tout ou rien ! Ca ne marchera pas, nous dit Antoine. — Qui sait ? répond Lucien d'un air pensif... Moi je crois qu'il ne faut pas généraliser et nous avons tous des connaissances, des amis musulmans qui souhaitent, et vous le savez bien, nous garder en Algérie. Je crois que c'est plutôt l'OAS qui ne voudra pas de ce marché, de ce partage... — Oui, mais comment il se ferait, ce partage ? ajoute Joseph... Qu'est ce qu'ils nous laisseraient ? Un département ? Une ville pour un million de pieds-noirs ? Oran ? Alger ? Constantine ? Le Sahara ? Et avec la nouvelle richesse du pétrole, ça m'étonnerait que les Arabes acceptent ! — Et si ça se faisait, on aurait des frontières ? Tu vois un peu d'ici la chose ! renchérit Jean Claude... Nous, les femmes, nous laissons parler les hommes. Nous en avons déjà discuté entre n.
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